Une part du récit des propriétaires du jardin
Ils ne se sont pas acquitté de ce que Allah ta^ala a ordonné, Il les a privé, par châtiment de sa part, en raison de leurs mauvaises intentions.
Quel est donc le détail de ce récit ? qui est même réputé pour ses nombreux jardins, pour ses terres fertiles, pour la proximité de ses principales villes dans une région appelé bouhrane :
Un homme vertueux vécu une vie heureuse avec ses enfants, il avait en effet une immense terre étendue qui avait différente sorte de plantation, plusieurs arbres dont les fruits étaient nombreux, ici on trouvait des palmiers par là des vignes, par là des primeurs, elle avait un bel aspect pour celui qui le voyait et un lieu pour ce qui le voulait qui venait pour se reposer et pour profiter de son bel aspect.
Cet homme vertueux était musulman, il faisait partie de la communauté de notre maître ^Ica le messih ^alayhi sallam, il remerciait Allah ta^ala pour les bienfaits qui Lui accordé.
Toute les fois que venait le temps de la moisson des plantes il appelait le jardinier et ses aides ils coupaient ce qu'il pouvait coupé avec el mijal, il cueillait les fruits. Puis il demandait à ce que l'on ramène des groupes de pauvre comme il les y avait habitué chaque année il ne les empêché pas d'entrer au contraire, il leur donner une grande part de la récolte. Celui ci remplissait les ustensiles qu'il avait ramené, cet autre transporté dans ses vêtements, après cela tout ce qui n'avait pas était coupé avec el mijal était à eux et de même le blé qui tombait après avoir était mis sur les draps et également ce que le cueilleur n'avait pas cueilli et ce qui tombait des fruits des palmiers dont les dattes étaient nombreuses, tout cela était un bien licite, qui leur a donné et il en était ainsi chaque année.
Certains fils de cet homme vertueux n'avaient pas supporté de voire une part des biens de leur père distribuées aux pauvres et que son grand jardin soit ouverts aux miséreux et aux nécessiteux et ne supportaient pas que cela soit à eux. L'un d'entre eux a dit à son père " en donnant aux pauvres tu nous prives de notre droit et tu nous rend difficile notre subsistance", l'autre fils a dit "il se peut qu'après toi, après ta mort nous redevenions pauvres que nous tendions les mains aux gens que nous soyons des mendiants" le troisième s'apprêtait à parler c'est alors que le père les a parcouru tous du regard et il leur a dit "je pense de vous que vous êtes dans l'erreur, dans l'illusion, ce bien est un bien qui appartient à Allah que Allah a mis à ma disposition et m'a ordonné d'en faire sortir des parts en tant que zakat pour les pauvres et les miséreux et les biens ainsi augmente Allah y fait des bénédictions et c'est ainsi que je me suis habitué depuis que j'était jeune et je me suis attaché à cela en étant adulte comment pourrais je l'abandonner alors que je suis un vieille homme et que ma mort est proche ?".
L'homme vertueux n'est pas resté longtemps, il était atteint de maladie et il est mort en laissant ses fils et son grand jardin. Les jours se sont écoulé rapidement et est venu alors le temps de la moisson, les pauvres et les miséreux ont attendu ce moment là pour venir et prendre leur part tout comme l'homme vertueux les avait habitué chaque année.
Les fils avares se sont réunis pour préparer la moisson. L'un d'entre eux a dit " nous ne donnerons plus jamais après aujourd'hui quoi que ce soit de notre jardin ni a un pauvre ni à un nécessiteux, il ne deviendra plus la destination de celui qui veut s'y promener ou du voyageur car si nous agissons ainsi notre bien va augmenter et nous aurons une plus grande importance.».
Le deuxième qui était comme son père et aimait les oeuvres de bien a dit "vous envisagez une chose que vous pensez meilleur pour vous mais en réalité elle comporte du mal et votre jardin sera anéanti à partir de ses racines, en effet si vous privez les pauvres et que vous ne donnez pas aux miséreux et aux nécessiteux la zakat sur les plantations je craint pour vous le châtiment de Allah ta^ala." mais ils n'ont pas obéis et ils se sont entendu entre eux en cachette pour se lever au petit matin avant que les gens ne se réveille, qu'ils veillent à leur champs, qu'ils cueillent ses fruits, qu'ils récoltent ses plantes et qu'ils les partage entre eux mais qu'il n'en reste rien aux pauvres.
Mais Allah ta^ala sait qu'ils complotaient et ce sur quoi ils se sont mis daccord. Il a envoyé notre maître Gibril ^alayhi sallam de nuit avec une forte épreuve qui a arraché leur plantes et a brûlé leurs arbres, leurs feuilles se sont asséchés tout comme leur rivière et leur jardin est devenu noir, sombre comme la nuit. L'orsque le jour fut levée et qu'ils furent à proximité de leur jardin, ils s'étaient mis à s'interroger "est ce là bien notre jardin ? Alors que nous l'avions laissé hier avec ses arbres tout feuillus, plein de fruits ? Nous ne pensons pas que c'est notre jardin nous nous sommes certainement perdu en route.
Le deuxième a dit "mais c'est bien votre jardin vous en avait était privé avant que le pauvre n'en soit privé et vous avez était rétribué pour votre avarice et votre cupidité.».
Alors ils se sont mis à se blâmer les uns les autres le premier disait "c'est toi qui nous a indiqué cela pour empêcher les pauvres " l'autre disait "non non c'est toi qui nous a décrit d'une belle manière leur privation" et un autre répondit "c'est toi qui nous a fait peur de tomber dans la pauvreté" et le dernier d'entre eux disait "mais non c'est toi qui a voulu que nous ramassions plus d'argents".
Ils ont alors dit "oh notre Seigneur nous avons était injustes c'est à dire nous avons désobéi à notre Seigneur en empêchant de donner la zakat». Allah ta^ala leur a fait miséricorde lorsqu'ils ont manifesté leur disposition au repentir. Ils ont dit "si Allah nous donne mieux que cela nous ferons tout comme a fait notre père."
Ils ont invoqué Allah, ils l'ont supplié, ils ont fait le repentir et Allah leur a donné la nuit même ce qui est mieux que ce qu'ils avaient. Il a ordonné à Gibril ^alayhi sallam d'arracher leur jardin brûlé et asséché de le mettre loin et de ramener une terre du cha’me, un jardin plein d'arbres et de plantes, les bénédictions étaient manifestes dans ce nouveau jardin en effet la grappe de raisin était énorme et ils ont fait à nouveau ce que leur père faisait ils n'empêchaient ni le pauvre ni le miséreux, ils ont purifié leurs biens et leurs âmes par ce que Allah ^azza wa jal agréé.
